mercredi 31 décembre 2008

dimanche 21 décembre 2008

A nouveau chez Adel


Le mardi 6 janvier 2009 à 20h, Chez Adel,
10, Rue de la Grange-aux-Belles
75010 Paris

Concerts chez Adel un mardi sur 2.

Confirmer votre présence à : leyakmail@gmail.com
Ou sur "l'évènement" Facebook en tapant "LéYàK".

En espérant vous y voir.

LéYàKement

Mortal Combat (concert à l'Echiquier)



Concert à l'Echiquier le vendredi 19 décembre 2008.

Ma maison (avec Laurence Freund)



Concert à l'Echiquier, le vendredi 19 décembre 2008.
Avec la talentueuse et poétique participation de Laurence Freund.

L'oiseau fait son nid (à l'Echiquier)


LéYàK - L'oiseau fait son nid (à l'Echiquier)
envoyé par LeYaK_le_groupe

Concert à l'Echiquier le vendredi 19 décembre 2008.

Marcel (concert à l'Echiquier)



Concert à "L'Echiquier".
Vendredi 19 décembre 2008.

mercredi 17 décembre 2008

Aoh it's quoule ! (Song for old teenagers)



Scène ouverte au Tennessee le lundi 15 décembre 2008

Un alboum Unplugged ?



LéYàKiens et LéYàKiennes, vous n'en n'aviez pas rêver mais LéYàK est quand même est train de le faire,... un album unplugged live, totalement sans batterie (une volonté de notre part et, non, ce n'est pas parce que nous ne trouvons pas de batteur pour se farcir les rythmiques de Tomilatomate).
A écouter bientôt, prochainement, un de ces jours, va savoir...

Troisième alboum : Aenonymus



LéYàK
www.leyak.com
Paris,
Le 17 décembre 2008

A l'attention des
LéYàKiennes et LéYàKiens
De passage dans notre univers
@@ @@@ World-of-Net

OBJET : informations musicales

LéYàKiennes, LéYàKiens,

Après un cursus de deux albums ("Mais qu'est-ce que tu veux dire?" et "En liberté"), et quelques passages sur scène ("Festival Parmi Nous"(2006,2007,2008), "Pop In" (novembre 2008), "Tennessee"(novembre et décembre 2008), "Chez Adel" (novembre 2008)), nous souhaitions vous informer, par la présente, de la préparation de nouveaux morceaux aux styles variés assaisonnés de satires et d'humour.

En effet, actuellement en mode composition et enregistrement de l'album "Aenonymus", nous voulions passer en revue les différents morceaux que vous aurez le plaisir d'écouter. Vous retrouverez, notamment, les titres: Aenonymus (inspiré de Tool), Fidèle (inspiré de Sinclair), la boume de Gontran (inspiré de Jason Mraz), rêver (inspiré de Gaspard Batlik), je dis "N" (inspiré de M), soiré(e)(slam inspiré de Grand Corps Malade) et d'autres morceaux encore.


Nous souhaitions également vous faire partager la chance et la joie que nous avons d'accueillir, sur cet album, des invités talentueux tels que Benjamin Lutz (qui pose son saxophone rythmé sur "La copie") ainsi que Richard Lewis (à l'accordéon) et Laurence Freund (au violon) qui offrirent leur talentueuse sensibilité sur "Ma maison".

Dans l'attente de vous voir lors de concerts ou de scènes ouvertes, nous vous prions, LéYàKiennes et LéYàKiens, d'agréer nos remerciements les plus sincères.

LéYàK

PS : Nous détestons fortement ces lettres formelles à la con dont nous ferons, incessamment sous peu, la satire. Vont pas continuer à nous faire chier longtemps... nan mais oh !

Mais qu'est-ce que tu veux dire ?

LéYàK © Mais qu’est-ce que tu veux dire ?

Après 10 ans passés sur les bancs du lycée pour obtenir mon bac
J’étais encore motivé, ACHARNE, je suis entré à la fac
Finie l’époque Big Mac avec quelques packs qu’on vidait dans les parcs
Classeurs en vrac dans mon sac, Moi je suis parti à l’attaque
Bon j’avais le choix dans les matières : Economie, Histoire Géo, langues étrangères
Mais moi ce qui me branchait le plus, C’était le côté littéraire
Et là le prof est arrivé avec son joli blaser vert, Il avait des airs de Baudelaire
Il a commencé son séminaire :

Les figures de style ont une importance majeure dans la structure littéraire des phénomènes mineur.
La métaphore du divers des structures mythologiques sont en symbiose dans les œuvres à caractère éthique
Les classèmes sont des lexèmes en lexicologie, l’argumentaire du contrat didactique est au profit, d’un renouveau du travail binaire
Je pense que là, mes chers, tout est clair...

- Monsieur, j’ai une question ?
- Hum ? Non. Bon très bien, poursuivons !

Mais qu’est-ce que tu veux dire ?
Tu ne peux pas me le dessiner
Ou peut-être me l’écrire
J’ai vraiment rien capté.

Après toute une année à m’acharner, à essayer de déchiffrer
C’que ces profs mal payés me disaient, j’ai abandonné l’université
Pour gagner la liberté de prendre le tro-mé, me gaver de publicités qui incitent à s’évader, à consommer, à s’endetter et être ainsi pieds et poings liés
Pendant des années à devoir travailler, pour payer mon loyer, l’électricité
La redevance télé, l’assurance de mon Audi TT, sans oublier mon banquier. Alors j’ai cherché une société, qui voulait bien m’engager
J’ai été embauché et c’est Roger qui m’a coaché et là, il m’a tout expliqué :

Ce qu’il faut relooker le front-end du back office pour vraiment – tu vois – visibiliser le service
On va ainsi pouvoir parvenir à une réussite technique et commerciale
Pour inquiéter le leader mondial parc’ que tant que nos fondamentaux seront bons
Notre marque opérationnelle est assurée et ça c’est pas du bidon
On va donner des couleurs aux indices, percer le marché, mettre la gomme Pour avoir un chiffre d’affaire maximum.

- Des questions ?
- Oui, peut-être une parce que…
- Bon, calculons !

Mais qu’est-ce que tu veux dire ?
Tu ne peux pas l’optimiser
Ou peut-être le traduire
Pour que ce soit français.

En effet, je m’y suis fait, passé des années dans cette société
A ingurgiter des données, à taper sur mon clavier, à jargonner en franglais comme un perroquet
A répéter, répéter, imiter, imiter, formaté, formaté, calculer, calculer
Comme un robot bien huilé mais je voulais y arriver
J’ai gravi les échelons, fais de la lèche à ces cons, écrasé les moins bons sans aucune compassion
J’en ai bouffé de la réunion pour obtenir des pistons, augmenter mes connexions
Pour gagner du pognon, j’ai trouvé le bon filon pour devenir le patron

A présent j’ai l’argent, c’est moi le président, je suis indépendant, y a plus personne devant, nan
Pour me rentrer dans les dents, plus besoin de faire semblant devant ces gens
Ces mal comprenant qui s’écoutent en parlant, Moi je trouve ça déprimant
Mais maintenant c’est moi qui déblatère, ce vocabulaire austère
Je parle de développer notre chiffre d’affaire sur la terre entière
Quitte à faire taire les secrétaires qui consomment beaucoup trop d’bières
Moi j’ai des actionnaires à satisfaire...

- Excusez-moi ?
- Hum ?
- Je ne comprends pas !
- Tu es nouveau toi ? Ca se voit ! Hum, tu ne restes pas !

Mais qu’est-ce que je voulais dire
Je ne vais pas me répéter
Ni même le traduire
Vous voilà bien baisés

Soirée(s)

LéYàK © Aenonymus

On est samedi soir, toi t’es content, t’as une soirée
Tu dois ram’ner à boire alors tu passes chez l’épicier
T’arrives au bout d’la rue t’entends déjà un beau bordel
Car trois étages au d’ssus les rires se melent aux décibels

Tu sonnes a l’interphone et derrière l’bruit t’entends une voix
T’hésites et tu t’étonnes, le mec qui parle, tu l’connais pas
Tu t’annonces quand même et l’autre te demande un mot d’passe
Il est neuf heures a peine et là-haut ils sont tous fracasses

Tu lis un petit mot scotché sur l’mur de l’ascenseur
Un truc bien comme il faut pour pas qu’on pas s’plaigne de sont auteur
Un résident s’est amusé à y poser son petit graff
Un autre a corrigé deux ou trois fautes d’orthographe

T’arrives un peu plus tard donc toutes les pièces sont occupées
Tu sens quelques regards s’poser sur toi du genre : « qui c’est ? »
On t’présente à machin - qu'paraît qu'bidule est dans l’salon -
Poli tu sers des mains mais tu r’tiendras aucun prenom

On t’indique un endroit où tu peux poser tes affaires
Un espèce de gros tas d’manteaux qu’les autres vont foutre en l’air
Dans un coin y a le chat qui te regarde d’un air bizarre
Toi tu n’attardes pas – tu veux pas perdre ta main ce soir

La musique est à fond alors tout l’monde parle super fort
Pourquoi baisser le son ? Le bruit fait partie du décor
Alors naissent des clans, chaque petit groupe a son sujet
Les hommes ont ce penchant d’vouloir toujours se regrouper

Tu t’raccroches à un mec que tu connais, tu sais pas d’où
Du coup tu fais avec et des l’début tu l’trouves relou
Aucun atome crochu et vous n’avez rien à vous dire
C’est l’bouche trou du début avant qu’tes potes daignent venir

Dans ce genre de soirée y a pas de plats mais des p’tits bols
Des trucs à picorer que l’on s’enfile avec l’alcool
On s’rue sur l’saucisson ou sur les chips dans l’saladier
Le truc qu’est vraiment con c’est qu’ca donne soif : faut picoler

Là c’est l’effet de masse mais si on zoome on peut r’marquer
Que chacun à sa place dans cette scène de société
Dans le lot j’ai le choix mais j’vais cibler ce qu’y d’mieux
Mais ne vous moquez pas car vous êtes peut-être parmi eux

Y a la nana introvertie qui reste effacée dans un coin
Elle dit rien mais sourit, elle espère qu’on lui tende la main
Elle aimerait danser mais son courage lui fait défaut
Elle désire en secret le mec là-bas près d’la sono

Y a l’mec pas très à l’aise qui fait le clown pour se détendre
Son moteur c’est la 16 : un pack entier s’est fait descendre
Il fait marrer les gens même si certains le trouve casse-couille
L’humour est un calmant qui détend ceux qui ont la trouille

Y a la nana bien droite qui n’ose pas du tout se lâcher
Elle croit qu’tout l’monde la matte et qu’on va toujours la juger
Alors elle fume des clopes, avec ses copines dans un coin
Et traite de vieille salope une inconnue qui danse bien

Y a l’pote d’un aut’e copain qui, pour le coup, connaît personne
Il reste dans son coin ou passe son temps au téléphone
C’est clair qu’il se fait chier alors pour faire passer le temps
Il s’met à picoler et fume ses clopes mécaniqu’ment

Y a la nana festive qui bouge partout et qui rigole
Limite hyperactive – certains croiraient que c’est une folle
S’il y a des confettis sois sûr qu’elle en foutra partout
L’énergie qu’elle fournit compense la léthargie des mous

Y a l’mec toujours bourré qu’essaye de parler avec toi
T’essaye de t’concenter : y à rien à faire, tu n’comprends pas
Il croit qu’ça a un sens et il arrête pas d’s’enfoncer
Des qu’il marque un silence, toi t’en profites pour te casser

Y a celle qui r’croise son ex et qu’essaye d’être naturelle
Qui s’donne un côté sexe afin que Lui ne voit plus qu’Elle
Le passé lui revient, les bons moments lui r’donnent envie
Mais elle ne fera rien… et son histoire s’arrête ici

Y a celui qu’a trop bu la tête au dessus des toilettes
Il veut garder l’dessus mais il lâche quand même une galette
Serein comme un bébé il dormira pendant des heures
Quand il va s’réveiller y aura moins d’monde que tout à l’heure

Y a ceux qui se retrouvent, qui s’étaient pas vu d’puis longtemps
Les vieux dossiers se rouvrent et ils évoquent les bons moments
Y a ceux qui se revoient mais qui s’évitent du regard
Parc’qu’ils ne digèrent pas l’embrouille qui a pourri leur histoire

Rien ne reste figé, c’est plus vivant et c’est plus drôle
De voir qu’dans une soirée on change de temps en temps les rôles
L’timide devient bavard et le bavard devient bourré
La joyeuse a l’cafard et la gentille est déchaînée

Le mec qui court partout c’est simplement l’hôte de maison
J’le respecte entre nous quand j’vois l’étendu du boxon
D’ailleurs changeons d’regard, prenons sa place rien qu’un instant
Son point d’vue sur l’histoire va nous offrir le dénouement

Les invités se barrent pour attraper l’dernier métro
C’est pas la fin d’l’histoire y a ceux qui sont v’nus en moto
le pire c’est qu’t’es crevé et t’as envie d’aller au lit
T’aim’rais bien les virer mais tu l’fais pas t’es trop poli

Alors insidieus’ment tu commences à ranger des verres
Tout l’monde s’en bat franch’ment, ils ont tendance à t’laisser faire
Tu t’dis qu’ils vont partir, il n’est pas loin d’4 heures du mat
Et tu perds ton sourire quand l’un d’entre eux veut faire des pâtes

D’un coup l’appartement est plongé dans un grand silence
Reste ce bourdonn’ment : ton crâne fait caisse de résonance
Chez toi c’est l’Arménie, on dirait un camp d’réfugiés
Tu t’étales sur ton lit et tu t’endors tout habillé

A 15 heures, tu t’réveilles y a une odeur de tabac froid
Des cadavres de bouteilles qui jonchent le sol ici et la
C’que t’avais pas r’marqué ce sont les taches sur la moquette
Y d’la bouffe écrasée et quelques p’tits trous de boulettes

Le must c’est la poubelle qui se répand même sur le sol
Ou encore la vaisselle qui se mélange au guacamol
Toi tu veux déjeuner alors tu ouvres grand ton frigo
Y a plus rien a manger… il reste quand même des packs de Kro

Les soirées c’est sympa mais t’as quand même un p’tit regret
Tes potes étaient tous là mais t’en as même pas profité
Une fois finie la fête, le plus relou c’est d’tout ranger
Une idée naît au fond d’ta tête : la prochaine fois j’f’rais un dîner

Ma maison

LéYàK © Aenonymus

Qu’est-ce que j’fous là dans ce Paris
Au milieu des gens et du bruit
Y a que du gris, que du béton
Pas une prairie, pas de gazon

J’rêve de nature et d’liberté
J’rêve de verdure d’un peu d’air frais
Y a tous ces gens qui font la gueule
C’est déprimant … j’suis mieux tout seul

J’ai pas ma place dans ces rues
Où je traînasse mon gros cul
Quand je regarde passer les gens
Soit ils sont speed soit j’suis trop lent

Personne me parle, personne s’arrête
Faut dire que j’ai une drôle de tête
J’ai deux grosses cornes et une barbiche
Mon regard morne… tout l’monde s’en fiche

Quand j’ai le blues, quand ça n’va pas
J’pense au Bhutan et au Tibet
Le toit du monde ben c’est chez moi
Je sais qu’un jour j’y r’tournerai
Ma maison c’est l’Himalaya
Et quand j’y pense j’ai l’cœur en vrac
Je vous r’verrez mes potes sherpas
Ainsi qu’tous mes… amis Les yacks

Qu’est-ce que j’fous là dans ce Paris
Où tous ces gnous manquent d’empathie
J’ai enfin su c’qu’était l’dégoût
L’parfum des rues, relent d’égout

J’entends les grains d’tous les malas
Des tibétains au pied d’Bouddha
Les Oms des moines, l’odeur d’l’encens
Apaisent mon âmes… ça me détend

Ils me regardent tous de travers
Trop sur leur garde : de quoi j’ai l’air ?
Bien malgré moi, mon vœu l’plus cher,
Un r’tour fissa dans un charter

Malgré la traque des sans papiers
Les flics s’en battent j’suis pas fiché
Pas de matraque pour m’dégager
Je suis qu’un yack… isolé…

Quand j’ai le blues, quand ça n’va pas
J’pense au Bhutan et au Tibet
Le toit du monde ben c’est chez moi
Je sais qu’un jour j’y r’tournerai
Ma maison c’est l’Himalaya
Et quand j’y pense j’ai l’cœur en vrac
Je vous r’verrez mes potes sherpas
Ainsi qu’tous mes… amis Les yacks

lundi 15 décembre 2008

La copie chez Adel (feat Richard Lewis)


La copie chez Adel
envoyé par LeYaK_le_groupe

En concert chez Adel le jeudi 11 décembre 2008, avec l'aimable participation de Richard Lewis à l'accordéon.

dimanche 14 décembre 2008

Sur la route encore (répétition)


LéYàK - SUR LA ROUTE ENCORE
envoyé par LeYaK_le_groupe

Répétition d'une vieille chanson pas jouée depuis longtemps.

Les miséreux chez Adel (feat Laurence Freund)



Concert "Chez Adel"
Prochain concert chez Adel le mardi 6 janvier 2009.

Chaleureuse et talentueuse participation de Laurence Freund.
En concert avec Richard Lewis le 22 janvier 2009.

vendredi 12 décembre 2008

Concert à l'Echiquier


















Le vendredi 19 décembre à l'Echiquier
164, rue Saint Maur
75011 Paris
Quartier de Belleville
Tel : 01.53.36.06.51

Concert gratuit à 20h00.

jeudi 4 décembre 2008

Concert chez Adel


Le jeudi 11 décembre à partir de 20h, Chez Adel,
10, Rue de la Grange-aux-Belles
75010 Paris

En espérant vous y voir.

LéYàKement

mardi 2 décembre 2008

Rêver (scène ouverte au Tennesse)

La copie (scène ouverte au Tennessee)



Avec la chaleureuse et talentueuse participation de Richard Lewis à l'accordéon.
 

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